♣ LEFT ME SPEECHLESS
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 PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu.

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Perrine A. Lestournel
SWEETY PIE ♣ I love that lavender blonde.

Perrine A. Lestournel


♦ MESSAGES : 31
♦ DATE D'INSCRIPTION : 22/05/2010

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MessageSujet: PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu.   PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu. EmptyDim 23 Mai - 22:49

PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu. 2cqi52u
© acidette

♣️ PERRINE ALYS LESTOURNEL.
Je m'appelle Perrine A. Lestournel et je suis âgée de seize années. Née le 15 avril 1993, j'ai grandi à Paris. On me surnomme entre autre Perry et puis c'est ça. Je suis actuellement célibataire et j'étudie au lycée. Je fais partie des étrangers.



    ♣️ I'LL NEVER TALK AGAIN.
    CE QUE VOUS TRIMBALLEZ TOUJOURS AVEC VOUS : Moi-même, ça va de soi. Un manteau, s'il fait froid, des lunettes de soleil s'il fait beau. Des chaussures aussi, c'est pratique. Des vêtements aussi! Il m'arrive d'apporter un sac à main.
    VOTRE PLUS GRANDE QUALITÉ ET PLUS GRAND DÉFAUT : On dit de moi que je suis très attachante et imaginative mais peut-être trop renfermée et surtout très maladroite. Naïve aussi. Reste à voir.
    QUELLES LANGUES PARLEZ-VOUS ? : Français et .... français. Je n'ai pas de temps à perdre avec les langues.
    VOTRE PLUS GRANDE IDOLE : Yann Tiersen.
    ET VOTRE PLUS GRANDE PHOBIE : Les gens qui travaillent dans les bureaux.
    UNE CHANSON QUI VOUS REPRÉSENTE BIEN: Disons que je ne suis pas du genre à me comparer à une chanson.



    ♣️ I'LL NEVER WRITE A SONG.
    Donc ici, vous inscrivez l'anecdote conçernant l'échange. Si vous êtes américain, expliquez comment l'arrivée des européens s'est déroulée pour vous, comment vous perçevez cette initiative d'amener des étrangers dans le pays. Pour les européens, comment vous avez perçu la nouvelle, si pour vous arriver dans un pays étranger pour apprendre l'anglais est une bonne chose ou non etc... Minimum de dix lignes.

    ♣️ WON'T EVEN SING ALONG.


    PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu. 088 PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu. Bas23-vi © Livejournal
    Donc alors moi c'est Jade, Mushaboom ou alors Little J. I love you Je suis âgée de quinze ans et puis je laisse Wattz à personne (a). Je vis au Canada (dans le trou francophone) et puis bah voilà. Je met pas de code du réglement parce que je suis une VRAIE rebelle. PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu. 131589



Dernière édition par Perrine A. Lestournel le Dim 23 Mai - 23:30, édité 8 fois
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Perrine A. Lestournel
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MessageSujet: Re: PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu.   PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu. EmptyDim 23 Mai - 22:49

PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu. Sw7h3q
♣️ TOUT ÂGE PORTE SES FRUITS, IL FAUT SAVOIR LES CUEILLIR.
Une vraie course en jeu. Des entrecroisées, l'un vient plus rapide que l'autre parmi toute la foule en délire. Mes yeux sont rivés sur eux, admirant l'incroyable chute. Une goutte, deux gouttes, trois gouttes. La course de gouttes d'eau n'est plus aussi intéressante qu'elle ne l'était lorsque j'avais six ans. Assise sur ma chaise, les jambes repliée vers ma poitrine les bras autour de ces dernières. Je contemple le spectacle que m'offre ma fenêtre. Un jour de pluie, un autre. Du peu que je suis capable de voir, les gouttes voulant m'empêcher de regarder le triste sort des parisiens à la pluie, j'aperçois des voitures, quelques personnes armées d'un parapluie ou d'un journal sur la tête, courant pour se mettre à l'abri. Aujourd'hui, c'est mon anniversaire. Et je n'ai pas du tout envie d'aller rejoindre les invités de maman au salon. Comme elle sait que je n'ai pas beaucoup d'amis, elle s'est décidée à inviter les siens. Comme si j'avais besoin de ça. J'aurais voulu rester ici, à dormir, lire, écrire et rêver avec le bruit des claquements de gouttes de pluie frappant la vitre. Mais c'est mon anniversaire, j'ai quinze ans aujourd'hui et on doit célébrer, maman m'a toujours dit ça. Vulgairement habillée, chignon lâche, débardeur blanc et bas de pyjama, j'ai finalement revêtu les vêtements qu'elle m'avait sortis. Mes cheveux blonds parfaitement bouclés retombaient sur mes épaules. Une frange carrée harmonisait le tout et un bandeau décoré d'une jolie boucle était posé sur ma tête. J'étais vêtue d'une robe bustier noire avec une autre boucle, blanche cette fois, au niveau de la taille, des collants noirs et des chaussures à talons que maman avait payé une petite fortune d'un noir vernis. Je jetai un dernier coup d’œil à mon reflet dans le miroir. La Perrine que j'étais n'était pas la Perrine que je voulais être. La Perrine que je voulais être ne faisait pas partie de cette jeunesse dorée. Elle n'était pas bourgeoise, elle n'était que normale. Elle vivait dans un endroit où personne ne résidait et où elle pouvait faire tout ce qu'elle désirait et ce, le plus librement possible. Elle ne se fait pas mépriser par les autres blondasses du collège. En fait, la seule place où la Perrine que je voudrais être pourrait se trouver, c'est dans mes rêves. Car la vraie Perrine est riche, à un avenir déjà tracé, doit sourire tout le temps et se la fermer lorsqu'elle n'est pas d'accord avec quelque chose. Elle gobe n'importe quoi et peut briser des verres plus vite que son ombre. « Perrine, descend s'il-te-plaît! » s'exclama ma mère du bas des escaliers de marbre de notre luxueuse résidence parisienne. Je me levai de ma coiffeuse et me dirigeai vers ces dernières. « J'arrive, maman. » Mes doigts décorés d'un vernis transparent se posèrent gracieusement sur la rampe d'escalier tandis que je descendait élégamment, comme ma mère m'avait toujours montré. Apercevoir tous ces invités habillés chic dans le salon me déconcentra. Je ne voulais pas célébrer mon anniversaire ce soir. Des gens que je ne connaissais même pas étaient présents, tous habillés en robe de soirée ou en complet. Les serveurs de la maison se déplacaient un peu partout, un plateau de coupes de champagne en main. Ne faisant plus trop attention au fait que j'étais dans un escalier, mon talon de chaussure s'accrocha dans une marche et je tombai sur les fesses, sous les regards accusateurs et moqueurs des invités. Honteuse de ma maladresse, je me relevai et défroissai ma robe. Ma mère porta une main à sa tête en baissant les yeux, exaspérée. J'adressai un maigre sourire à la foule et terminai ma descente. Arrivée au bas de l'escalier, un serveur s'approcha de moi et me proposa un verre que j'acceptai directement. Je pris un verre du plateau et avala une grande gorgée de champagne pour oublier cet accident gênant. Ma mère vint vers moi et me dit « Perrine, te voilà enfin! Fais un peu attention la prochaine fois... » Je ne fis que hocher la tête. En s'adressant à ses invités, elle s'arma de son plus beau sourire et s'exclama « Voici Perrine, ma fille, la fêtée ! » Une pluie d'applaudissement polis se fit entendre. Je leur adressai un sourire timide et cherchai mon père sur la pointe des pieds. Il m'avait dit qu'il serait présent, il m'avait promis. Me retournant vers ma génitrice, je sentis mes lèvres brûler de lui demander cette question. « Où est papa? » Ma mère fit mine de ne pas m'avoir entendu et poursuivit la conversation qu'elle entretenait avec je ne sais plus quel type important. Insistant, je redemandai. « Maman! Où-est-papa? » Elle s'excusa auprès du type important et me répondit sèchement « Perrine, je parle avec M. Delacour, ce n'est pas le moment! » « Maman! » Elle s'excusa de nouveau et s'adressa à moi d'un air contrarié. « Il est en voyage d'affaires, il n'a pas pu venir! Maintenant va voir Cassandre, la fille des Leroy. Tu vas bien t'entendre avec elle. » Sous le choc, je ne répondis rien. Mon père n'était pas là et il me l'avait promis. Les larmes aux yeux, je ne répondis à aucune personne qui me saluait où me souhaitait un joyeux anniversaire. Et puis ma mère, elle pouvait se la mettre où je pense, Cassandre. Cette pimbêche blonde platine. Une catin. Bien sûr que je la connaissais et ce n'était sûrement pas avec elle que j'allais bien m'entendre. Je partis me réfugier dans ma chambre pour le reste de la soirée. Pleurant toutes les larmes de mon corps. Morphée vint me chercher quelques instants après et je partis donc dans mon univers, l'univers que je pouvais contrôler.

PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu. Bjb9yv
♣️ SI TU ES TOUJOURS LIBRE, COMMENCE À COURIR.
« Puis-je savoir pour quelle raison t'es-tu enfuie hier soir? » Ignorant ma mère, je fini de descendre les escaliers pour prendre place à la table. Ce matin là, soit le lendemain de mon quinzième anniversaire, je m'étais changée (puisque j'avais dormi avec mes vêtements de la veille) en une longue marinière blanche et rouge ainsi qu'un jean étroit. Tenue quelque peu négligée pour la classe sociale dont je faisais partie, mais cela allait convenir. « J'écoute... » Avalant une gorgée de jus d'orange, je fixais le mur devant moi. Ma mère me regardait avec des yeux accusateurs, les bras croisés. « J...j'étais fatiguée... c'est tout. » D'un air faussement surpris hébété, ma mère me regardait toujours. « Tu étais fatiguée? Laisse moi te dire, jeune fille, que c'était TRÈS impoli. Tu aurais pû limite prévenir. » J'inspirai un bon coup afin de ne pas me mettre en colère. C'était impoli, pfff. Et le fait qu'elle ait invité tous ces gens que je ne connaissais pas elle en faisait quoi? Que mon propre père n'ait pas pu se libérer pour l'anniversaire de sa fille unique? Encore une fois, je me laissai faire. « Certes, c'était très impoli... je m'en excuse profondémment. » Elle soupira, toujours pas convaincue avant de poursuivre son discours sur les bonnes manières, la chance que j'avais d'être une Lestournel et tout ce genre de choses qui ne m'intéressait pas. Perdue dans mes pensées, comme toujours, je ne l'écoutais même pas. « ... Et puis comment est-tu habillée ce matin? Ça fait très peuple, cours te changer ma fille! » Obéissante, comme toujours, je me levai, repoussai ma chaise et sans dire un mot, gravit les marches d'escalier jusqu'à ma chambre. J'en avais plus qu'assez. Assez d'être la petite Perrine naïve et obéissante qui n'osait jamais placer un seul mot. J'ouvris mon garde-robe. Je m'infiltrai à l'intérieur, regardant toutes les tenues que je possédais. Des robes, des robes et encore des robes. Des ballerines, des chaussures à talons et des collants. Rien de décontracté, ça ne faisait pas assez chic. Heureusement que je n'étais pas ce genre d'adolescente rebelle qui ne jurait que par les pantalons et le féminisme. J'adorais les robes, j'en portais toujours. Elles me donnaient ce petit air juvénile et innocent. Chose que j'étais, bien sûr. Elles reflétaient bien ce que j'étais. Cependant, elles étaient la preuve que j'étais coincée dans ce monde, que je ne pouvais rien faire comme je le désirais. Je ne pouvais jamais avoir un moment de répis, une journée tranquille, où je pouvais m'habiller n'importe comment. Je devais toujours avoir bonne impression et me vêtir correctement. Bref, je passai l'avant-midi dans ma chambre repassant encore et encore Le fabuleux destin d'Amélie Poulain. Vers 13h, un bruit de voiture se fit entendre devant mon domicile. Je me levai de mon lit et accouru à la fenêtre, telle une enfant pour voir ce qu'il y avait. Dehors, une limousine s'était arrêtée et un homme en sortait. Mon père bien sûr. Armé de son complet d'homme d'affaire et de sa valise, il entra dans la demeure. Ne sachant trop si je devais être heureuse ou triste, je sortis de ma chambre et descendit les escaliers, une nouvelle fois. Il était là, sorti de l'ascenceur, ma mère à ses côtés. « Perrine, chérie! Comment vas-tu? Joyeux anniversaire un peu en retard je m'excuse sincèrement de ne pas avoir été là hier. » Qu'importe. Hier, c'était hier et il avait quand même l'air désolé. Mon père, lorsqu'il était jeune, était presque comme moi. Il n'avait aucune envie de reprendre la société de son père et voulait devenir écrivain, tout comme moi. Cependant, il était également similaire à moi et n'avait rien dit. Il n'a pas été maître de son destin comme la coutume le veux. Secouant légèrement la tête, un faible sourire sur les lèvres je répondis « Ça fait rien, c'est pas grave. » Puis je lui fis la bise. Il me prit par les bras, en souriant et me dit: « Allons à la cuisine, nous devons parler...affaires. » Ooooh zut! Je détestais ce genre de conversation et surtout son contenu. Je n'avais pas du tout envie d'entendre parler de mon futur maintenant. Tous les trois réunis à la table, mon père commença son discours. Un ennuyant et interminable sermon qui me rappellait que je devais reprendre la compagnie familiale lorsque mon père prendra sa retraite et tout le blablabla. À vrai dire, je ne l'écoutais même pas. Je pensais plutôt à ce qui arriverait si toute ma classe était chauve. Ou alors à mon prochain déguisement d'Halloween. Mais pas aux affaires de la compagnie.


Dernière édition par Perrine A. Lestournel le Sam 29 Mai - 1:31, édité 37 fois
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♣️ MA TENDRE ET DOUCE FRANCE.


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Winniefred-Bee Buckley

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PARCE QUE MA LITTLE J C'EST LA MEILLEURE OUI OUI OUI PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu. 231717
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LES LITTLE J. ELLES GÈRENT PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu. 231717
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TIME IS RUNNING OUT ♦ I tried to give you up but I'm addicted.

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MessageSujet: Re: PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu.   PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu. EmptyDim 23 Mai - 23:34

ET PARCE QUE WATSON ELLE ROXX I love you
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ET QUE SOMERHALDER AUSSI I love you
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ET QUE CE PUTAIN DE CHOIX DE MUSIQUE DÉCHIRE SA RACE CHOU PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu. 72921 PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu. 439580
JADOU PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu. 976194
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MessageSujet: Re: PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu.   PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu. EmptyLun 24 Mai - 18:17

MAIS DE TROOOOP. PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu. 567151
CHLOÉÉÉÉÉ PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu. 36488 PERRY ♣ La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu. 855768
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